Se poser la question du financement alternatif, c’est pour nous, jeunes cinéastes, se donner les moyens d’échapper au clivage qui voudrait qu’il y ait d’un côté le documentaire financé par la télévision – confortable et formaté – et de l’autre le documentaire tout terrain, défricheur de formes, « de création » et fatalement fauché.


De l’exemple de Tënk au crowdfunding, sans oublier d’interroger les initiatives étrangères susceptibles de faire évoluer le modèle français, quels sont les nouveaux horizons pour le documentaire indépendant ?